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C’est mystérieux comme titre de podcast érotique, vous ne trouvez pas ?! Cette semaine, les lectures érotiques continuent d’explorer la saga érotique de LIZZIE STROMB écrite par JIP. Nous continuons donc de suivre les délires temporels et sexuels de la colonelle à la superbe chevelure rousse et or. Pour le voyage érotique de début Août, nous gagnons en sagesse puisque LIZZIE ET LA PIERRE PHILOSOPHALE nous emmène dans le monde fabuleux des alchimistes.

Lizzie va-t-elle réaliser le grand oeuvre au Rouge ? La connaissant, elle aura du rouge aux fesses et nous, sûrement aux joues. Il fait chaud au XVIIIème siècle !

Lizzie et l’alchimiste, le mystère s’épaissit !

Dans ce troisième tome de la saga temporelle et sexuellement débridée de Lizzie, c’est Charlus qui va avoir fort à faire ! Dans le second volume, LIZZIE ET ARSENE LUPIN, nous avons découvert que notre superbe rousse avait cédé, et de belle manière, à la lubricité du gentleman cambrioleur. Mais voilà, dans la folie de leurs ébats elle a aussi accepté de poser nue.

Où est le souci, me direz-vous ? Et bien quand on voyage dans le temps, le simple fait de laisser une trace ou déplacer un verre peut causer des dégâts irrémédiables. Vous imaginez si vous êtes prise en photo les quatre fers en l’air ? Charlus va donc avoir pas mal de travail pour récupérer les photos érotiques de sa lubrique colonelle.

D’ailleurs, que fait LIZZIE pendant que le pauvre Charlus récupère ses exhibitions temporelles ?

Lizzie et la pierre philosophale, le podcast érotique

Comme d’habitude ! LIZZIE laisse parler son cul plutôt que sa tête et fait la connaissance d’un étrange personnage. Bienvenue dans le XVIIIème siècle, en pleine réunion secrète d’un des plus grands alchimistes de tous les temps !

Les plus érudits parmi vous s’interrogent déjà pour savoir si la pierre philosophale est un oeuf, un diamant ou que sais-je … Vous pourriez être surpris. Je vous donne un indice, c’est gros, très gros, et c’est dur comme de la pierre. Après, JIP et ses amis alchimistes appellent ça Philosophale. Pourquoi pas après tout !

Podcast de LIZZIE et la Pierre Philosophale

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La lecture de LIZZIE de 2016

Lizzie batifole et Charlus soupire

Alors je ne vais pas vous parler du livre, non ! Vous n’avez qu’à écouter les deux autres épisodes et celui là. Surtout, vous n’avez qu’à le lire ! Juste je vous préviens, le mystère s’épaissit ! La pierre philosophale de l’alchimiste que rencontre LIZZIE est très très mystérieuse et va susciter beaucoup de passion chez mes copines et mes copains qui aiment les copains. Petit extrait du tout début, pour vous mettre en situation !

La tête basse, penaud, j’étais assis depuis plus d’une heure dans un corridor aseptisé ; j’attendais que l’aréopage de galonnés ait terminé leur délibération. J’avais plaidé coupable, sans révéler toutes les péripéties du séjour de la sous-colonelle Lizzie Stromb au début du 20 ème siècle. L’affaire était grave et le major Grunt ne décolérait pas.

« Un album de photographies qui se passait sous le manteau ?
Sous le manteau ? Quel manteau ? Quelle époque ? Je ne comprends pas pourquoi nous ne nous sommes pas aperçus de cela avant ! Grunt ?
Je ne sais pas, commandeur ! Je ne sais vraiment pas ! »

L’album circulait de mains en mains. Que les photographies aient immortalisé un modèle dans le plus simple appareil n’était pas le plus important. Une femme nue ? Ils en avaient vu d’autres ! Pourtant, qu’un officier du 32 ème siècle fût ainsi proposé aux regards concupiscents des générations passées dans des poses suggestives semblait — à entendre les sages — extrêmement grave !

« Qui est-ce ? demanda le surmaréchal Damforth de sa voix chevrotante, en plaquant sa main derrière son oreille afin de mieux capter les conversations.
Elle s’appelle Lizzie Stromb. Elle fait partie de la Section Chronoprospect sous les ordres du major Grunt, répondit le commandeur. »

Il ajouta, comme pour lui-même : Voilà pourquoi son visage ne m’était pas totalement inconnu quand j’ai compulsé son dossier d’inscription. »

Un annoncier vint me chercher. Je me levai et le suivis ; j’entrai dans l’immense salle de délibérations la tête basse en signe de repentance, voire de soumission. J’imitai parfaitement celui qui n’avait rien entendu des conversations derrière les lourdes portes que les huissiers avaient laissées entrouvertes de manière à profiter des discussions. Ils étaient pardonnables ; ils n’avaient guère d’occasions de rire ainsi.

« Et où se trouve cet officier actuellement, cadet ?
Quelques part dans le 18 ème siècle, surmaréchal ! »

répondis-je en balbutiant. En France, sans doute, d’après les dernières coordonnées que j’ai en ma possession.

Vous savez ce qu’il vous reste à faire ? Faire disparaître cet album avant qu’il soit édité.

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