Aujourd’hui c’est vraiment un article fait à deux mains même si c’est moi qui le signe. On va parler Féminisme mais surtout d’un mot que j’aime infiniment plus, la Féminiphilie. Bon déjà rien que pour démarrer l’article on se heurte à un souci : qui commence ? Si c’est Renaud on va me dire « oui voilà, le machisme au pouvoir, tatatitatata » et si c’est Charlie la réponse pourrait être « Ouais c’est ton mec qui a eu la galanterie très machiste de te laisser en placer une » … Vous voyez, on est pas sorti de l’auberge.
L’article était trop long nous l’avons donc découpé en deux parties. Maintenant c’est Renaud qui ouvre le bal, vu que c’est lui qui a trouvé le mot Féminiphilie et qui a proposé l’article. Juste avant, quelques mots en préambule :
Nous ne nous considérons pas comme des personnes sexuées, même si tel est le cas, mais avant toute chose comme des êtres vivants.
Qui, certes, sont dotés d’organes reproducteurs différents mais n’en reste pas moins, et dans cet ordre : Des êtres conscients, vivants, mammifères, primates, humains, femelle ou mâle ! Ensuite viennent les détails : des amoureux, chauds du cul, aimant les plaisirs de la chair et de l’esprit, occidentaux, autour de la quarantaine, avec des boulots dont certains sont bizarres pour d’autres, assez casaniers, sans enfants, et qui pètent en dormant (mais pas moi, sauf une délicate odeur de jasmin, chui une fille quoi) …
Féminisme, Féministe, des mots trop chargés de colère
Comme nous n’aimons pas plus l’un que l’autre prendre les glandes des gens ou rentrer en guerre contre quoi que ce soit, nous avons énormément réfléchi cet article. Le but n’est en aucun cas d’offenser, de manquer de respect à celles et ceux qui se sont battus en temps et en heure pour que la femme soit un joueur de poker comme les autres mais de donner notre avis et d’expliquer pourquoi quand on nous demande « Charlie / Renaud tu es féministe » nous répondons par la négative.
L’article sera obligatoirement incomplet donc soyez indulgents, mais s’il permet de faire délicatement avancer la cause de l’équité, du partenariat et de l’Amour pour soi et pour l’autre.
Un grand merci à Emmanuel Créateur qui, depuis notre interview ensemble, nous a donné envie d’écrire cet article pour donner un peu plus de détails sur notre vision du féminisme ou plutôt de la féminiphilie. Merci aussi à Emmanuelle de Paris Derrière pour ses posts réguliers essayant de ramener un peu de compassion envers nos frères, ainsi qu’à plein d’amoureuses de la gaudriole et féminiphiles elles aussi. L’actu médiatique du moment a fini de nous convaincre. [Plein de lien en bas]
Avec Charlie on adore le sens des choses et des mots, donc on va plonger un peu dans la Grèce antique. Bon la base Femini je vais pas vous faire un cours là dessus, vous voyez de quoi on parle, le Féminin.
Au passage le Féminin n’est pas la femme (pas plus que Masculin n’est l’homme). Limiter le mot Féminin à des organes génitaux est possible mais on lui enlève tout relief et on le cantonne à une notion biologique, froide et triste qui est très injuste pour ce joli mot. De plus en le limitant comme ça, la femme est la seule détentrice du Féminin, ce qui me semble une imbécillité, je connais beaucoup d’hommes plus féminins que certaines femmes, et inversement.
Tiens d’ailleurs cette appropriation exclusive du mot Féminin à la femme m’amène à la racine en -isme de Féminisme.
Préambule : Découvrez les -isme qui puent !
Quel que soit le « maux » : machisme, féminisme, anarchisme, capitalisme, humanisme… le isme rapporte au dogmatisme. « Un isme est un concept, le plus souvent idéologique, dont le nom se termine par le suffixe -isme. » dixit wikipedia. Le mot qui me trouble le plus dans cette phrase est bien sûr « idéologie » alors je clique sur le lien wikikipedia.
A idéologie je trouve : Une idéologie est un système prédéfini d’idées, appelées aussi catégories, à partir desquelles la réalité est analysée, par opposition à une connaissance intuitive de la réalité sensible perçue. De tels systèmes considérés comme idéologiques existent dans les domaines politique, social, économique et religieux.
Une idéologie est souvent la dimension culturelle d’une institution sociale ou d’un système de pouvoir. Une idéologie est typiquement imposée d’autorité, par un endoctrinement (enseignement) ou de façon imperceptible dans la vie courante (famille, médias). Une idéologie dominante est diffuse et omniprésente, mais généralement invisible pour celui qui la partage du fait même qu’elle fonde la façon de voir le monde.
On peut distinguer dans une idéologie les dimensions : cognitives : dogmes, croyances (« c’est ainsi ») ; morale : jugements, valeurs (« c’est bien ; c’est mal ») ; normatives : normes (« il faut ; on doit »). Bon je m’en doutais un peu, avec le temps on apprend à reconnaître les 4 petites lettres du bonheur, ou du malheur, tout dépend de quel côté du fusil on est.
Renaud, alors Féminisme ou Féminiphilie ?
C’est terrible la vie du petit mâle lambda que je suis, si si, terrible, chaque fois que j’entends parler des comportements de certains mecs, chaque fois que j’entends la rage, la colère et surtout la tristesse soutenant les propos de femmes abusées, je regarde ma bite et j’ai envie de lui dire « grosse merde ! » Bon je ne le fais pas car ma bite est assez sympa et moi pas assez con pour laisser mes hormones et ma peur guider ma vie.
Mais diable que cela est dur tout cet amalgame, car quand on dit « les hommes » on inclut de fait toutes les personnes de sexe masculin. Ce n’est pas conscient, c’est juste comme ça. Au passage un truc qui me fait beaucoup rire dans la langue française, c’est qu’on dit une bite et un vagin …
Pour ma part j’ai déjà reçu pendant mon enfance ce genre de complexe à deux balles. Un père grand amoureux du cul des filles et une mère très « auberge du cul tourné » – Merci Nathalie Giraud – qui a eu la main leste sur les « tu finiras comme ton père » « les hommes sont des bites » « les hommes sont des porcs » « ton père fait souffrir maman », je vous passe le reste.
Tous ces mots / maux ont fait que jusqu’à la vingtaine j’avais vraiment envie d’être une fille, jusqu’au moment où bon, c’est soit l’opération soit tu acceptes ce que tu as entre les jambes … je hais les opérations.
Pour préciser je voulais être une femme mais pas forcément pour coucher avec des mecs. Mon désir de féminin était, est encore un peu, un savant mélange entre détestation apprise du mâle et fascination devant l’immensité énergétique (je l’ai capté très tôt celle là) du Féminin.
Le drame qui me rattrape encore parfois c’est que la nature a fait que techniquement je suis un mâle … Je vous le dis, c’est pas forcément simple tous les jours, mais on va pas pleurer hein ! Je vis avec tristesse et désarroi dans un monde phallo centré, d’individus (males et femelles) en permanente compétition et en lutte contre l’extérieur quel qu’il soit donc ça va c’est cool !
Un seul combat : le respect de tous !
Alors oui, actuellement l’idéologie dominante silencieuse est encore très (trop) empreinte de machisme mais je ne suis pas du tout convaincu qu’opposer à une dictature une autre dictature soit la solution au problème. Même si historiquement le combat pour l’égalité des genres s’est appelé Féminisme, il est peut-être temps d’évoluer, d’inventer un autre mot, une autre intention.
Oui Il faut encore se bagarrer pour qu’un homme aille faire les courses. Il faut dénoncer les agissements, pensées, et actes discriminants quels que soient leur intensité. Il faut encore des heures de pédagogie, de négociations avec leurs idées reçues pour leur faire comprendre que « ça ne va pas de soi » et que « la femme » n’est pas un bien. Truc rigolo c’est qu’il faut aussi l’expliquer aux femmes pour elle même mais aussi pour « leurs hommes ».
Sans parler des semaines entières, aussi bien pour les femmes que pour les hommes, pour faire comprendre à ces deux trous du cul genrés et conformsites que la contraception c’est l’affaire de deux personnes (plus une à venir) et que la norme c’est toujours celles des autres [morale et norme], celle de celui qui a le pouvoir !
Il existe encore des coutumes, des habitudes, des comportements bien enracinés faisant que les personnes ayant un pouvoir (quel qu’il soit) abusent de leurs subalternes.
La connerie est elle le fait des males ou le fait des gens ayant le pouvoir ?
J’aime les Femmes, j’aime les Hommes, aussi, et malheureusement je les mets sur un pied d’égalité quand il s’agit d’être con. Comme dirait Charlie « la connerie c’est comme le trou du cul, c’est unisexe ».
Je ne suis pas sûr que les Irlandais, les mineurs et autres syndicalistes anglais aient réellement le coeur plein de miel pour Margaret Thatcher, la plus célèbre des Dames de pouvoir, et bien que je ne sois pas vraiment un de leurs proches je ne crois pas que Marine Le Pen, Bernadette Chirac ou Christine Lagarde soient des monuments de tendresse et de vertus morales.
Ca serait tellement plus simple de dire « les garçons c’est les messants les filles c’est les zentilles » mais la connerie est la chose la mieux partagée au monde … trois fois hélas.
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Pourquoi Féminiphilie et pas Féminisme ?
Primo parce que je n’aime pas les -ismes quels qu’ils soient. Le -isme, même dans anarchisme, me file des boutons, on me traite, on me qualifie d’anarchiste mais perso je ne me définis que comme humain. Si je n’accepte pas celui là de drapeau, je me vois mal accepter les autres.
Secundo l’histoire nous enseigne une chose, on fait couler beaucoup de sang avec un -isme et on engendre beaucoup de plaisir avec un -phile, même si ce plaisir est jugé nocif par la morale ça reste quand même du plaisir. Je n’aime pas me battre, je l’ai trop fait. J’ai participé à beaucoup trop de combats et j’ai vu beaucoup d’anciennes victimes, d’anciens esclaves devenir à leur tour tortionnaires. Je n’en ai plus envie. Donc je ne peux me dire féministe ou adhérer au féminisme.
La lutte contre, porte en elle son drame, elle nourrit la colère, elle nourrit le feu en nous, ce feu ne veut jamais s’éteindre, le feu est, comme nous humains, un élément très fragile et, comme nous, il a très peur de disparaître alors il bouffe, il engloutit un appétit insatiable.
La Colère, le (petit) feu cherche toujours de quoi manger. Une fois que le gros adversaire est vaincu il va aller chercher les brindilles, les petites choses, les détails et l’absurde arrive très vite.
Je suis d’une famille de grands lutteurs, j’ai moi-même combattu 30 ans de ma vie, la maladie, l’injustice, le handicap, la différence, les vaccins, le Fhaine, les préjugés, la pauvreté, le machisme, l’omnivorisme, le crétinisme, le cannibalisme énergétique (ou pas).
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Et si il n’y avait pas d’ennemi ?!
Un jour je me suis arrêté, j’ai regardé derrière moi, le F.Haine faisait plus de 20% des voix et bien plus encore dans l’inconscient. Les extrémismes obligeaient les filles à cacher leur string et à mettre des cols roulés pour pas « exhiber » leur poitrine.
- L’échangisme voulait à tout prix que je laisse ma copine à un mec qui puait le moisi à l’évocation même de son nom.
- Le chamanisme exigeait de moi que je mange à la table commune alors que je ne voulais que du silence.
- L’anarcho socialisme voulait que j’abdique mon individu au profit du collectif
J’ai vu que les trente années de lutte ne m’avaient amené qu’à un endroit : le fond de la prison que je voulais fuir ou démolir. Alors je me suis posé. J’ai osé Voir ma vie et me souvenir de mon envie première, celle de l’enfant de 3 ans, c’était la Liberté. Alors j’ai pris tous les -ismes, ceux que j’avais rejoint pour combattre ceux qui me déplaisaient, je les ai mis devant moi, j’ai fait un joli emballage cadeau et je les ai rendu au Feu.
Je me suis levé, j’ai regardé encore une fois ma vie, je me suis dit que j’avais bien vécu, je m’étais bien amusé et que maintenant j’étais libre, tout ce qu’il y avait devant était cadeau. J’ai pris mes béquilles, ma bite et mon couteau, et je me suis levé, un pied après l’autre, en claudiquant, vide de lutte, vide de combat.
Des fois je râle, des fois ça me re gratte, je hurle un bon coup (vraiment en plus), je laisse sortir le dragon, 10 minutes, petit homme est content, petit homme a pu hurler son désarroi, sa colère et sa peur, petit homme peut maintenant retourner se caler au pied du vieil arbre et reprendre sa route infinie vers la Liberté.
Ce chemin vers la Liberté m’empêche tout dogme, toute croyance, je suis mes propres pas, je ne sais pas où je vais mais j’ai Foi (qui n’est pas de la croyance) en une chose, la Vie est belle et Renaud n’en a qu’une.
Note & Liens autour de cet article
L’article de Charlie sur ce sujet
- Le point de vue de NOUVEAUX PLAISIRS autour du féminisme radical
- Emmanuelle Paris derrière : l’interview (notamment le début de la partie 2) – son site – son twitter
- Nathalie Giraud : son site – son twitter
- Article sur la norme & la morale
Si « isme » peut induire l’idée de doctrine (mais pas que, il y a des « ismes » sympas en philo et dans les sciences, si si.), philie peut induire l’idée d’amour pathologique. On en sort pas.
Merci pour ton commentaire auquel j’ai adoré répondre. J’adore ce genre de débat épistolaire :
Alors bien sur nous sommes tous un peu Ismophile 🙂
Allez je vais faire l’emmerdeur le fait de concevoir une doctrine sympa (même si je suis d’accord avec toi) et une doctrine pas sympa revient à dire qu’il y a des bonnes et des mauvaises doctrines / dogmes …
Le soucis avec les notions de bien et de mal c’est qu’elles nous semblent éternelles « allant de soi » alors qu’elles ne sont que conjoncturelles.
Pour citer un enseignant qui m’est cher « montre moi la différence entre un char – d’assaut – de droite et un char de gauche … » en gros ce qui est bien pour certains est toujours mal pour d’autres. Je sais je parle dans l’absolue et détaché de toute émotions, mais c’est un des gros avantages de l’ecrit, le détachement 🙂
Alors certes l’amour peut devenir pathologique mais la racine reste quand même plus sympa que celle d’un dogme / doctrine qui n’est jamais que l’illusion de supériorité d’un peuple, espece, epoque sur une autre.
Petite remarque complémentaire qui, hélas, peut être choquante et glissante mais essayons de rester hors émotionnel
Prenons la nécrophilie, une personne prend donc du plaisir avec les morts ceci n’est pathologique que par rapport à l’idée que la doctrine / dogme dominant ce fait de la norme 🙂 et non en tant que tel.
Le terme pathologique ne devrait être utilisé qu’à partir du moment ou le nécrophile met en danger une vie 🙂 et non quand son activité choque le dogme / l’étique / le principe dominant
Pour faire simple quand je dis les membres du Fhaine sont des gros cons je deviens de facto un gros con en m’accrochant à une doctrine, un principe de vie rigide (donc anti vie puisque l’essence même de la vie est le mouvement)
bon après j’accepte totalement mon jugement de valeur je ne m’y accroche pas « j’ai moi même dans mes relations proches quelques personnes issue du » Fhaine et avec lesquels je peux passer quelques bons moments 🙂
Voilà encore merci pour m’avoir permis de réfléchir la dessus à blanc 😀
Bonjour à tous les deux ! J’ai beaucoup aimé vous lire, chacun. Une chose me manque, parce que moi je me sens féministe (probablement qu’il ya de la colère là dessus, je vais envisager de me faire Féminiphile plutôt 🙂 ) notamment dans le fait d’essayer de sensibiliser mon entourage (et moi-même) aux normes socialement intégrées qu’on ne pense même plus à questionner. Est-ce que vous mettez dans Féminiphile l’idée de partager et faire voir aux gens que les filles sont tout aussi puissantes que les mecs ? Et que les garçons ne sont pas génétiquement moins capable de communiquer de façon non violente ?
« Tu tiens ton marteau comme une fille » m’a dit un jour mon papa. Ca résume bien ce que je voudrais changer, chez nous en France où nous avons du point de vue législatif des droits égaux. J’aimerais que les gens se questionnent quand ils s’expriment, que les parents ne proposent pas aux filles des cours de danse et et aux garçons des cours de Judo. Parce que si j’avais pratiqué un art martial dès l’âge de 6 ans, je pense que je serais devenue moi-même beaucoup plus tôt dans ma vie. Mais socialement, peu de gens pensent à faire tester des activités connotéees « garçon » à une petite fille. Et peu de gens proposent des cours de danse aux garçons (je kiffe Billy Elliot , ok…. 🙂 ). Comment faire, sans un peu de partage et de réflexion autour de ces thématiques, pour que garçons et filles soient libres des stéréotypes de genres ?
Oui, en tout cas pour moi ça semble évident !
Apres, je pense que ca se transmet petit à petit, pas à pas, je suis pas sure que rentrer en guerre soit une bonne solution, ni qu’elle soit hyper efficace.
Ca me fait rire, ça me fait penser à une petite anecdote : pour mes 20 ans, j’ai demandé à mon pere comme cadeau d’anniversaire une perceuse. Parce que j’adore faire des trous et pour poser des étagères c’est quand meme hyper pratique ! Et bien la réaction de ma belle mère m’a fait halluciner ! Bon, faut dire qu’au départ elle est conne, mais sa réaction est assez symptomatique : une perceuse ? Mais c’est pas un cadeau qu’on offre à sa fille ca ! Ben oui, ca faisait 2 ans qu’elle m’offrait de quoi me faire un trousseau, saladiers, serviettes de bain, etc …
Alors je ne pense pas qu’elle ait changé d’avis, moi j’ai eu ma perceuse ! Mais c’est drole de voir que c’est aussi bien implanté dans la tête des femmes que des hommes, cette idée des genres ! Et sur la puissance, bien sur qu’une femme peut l »être autant qu’un homme. Pour un déménagement, mieux vaut être aidé par une nana hyper barraque que par un mec taillé comme une flute. Tout dépend de chaque individu en fait.
Comme disait Arthur H pendant un concert, la révolution est individuelle.
J’y crois, je crois au rayonnement. En étant soi, en dehors des définitions normées, en osant être, petit à petit on peut inspirer des gens à faire pareil, et petit à petit ca se transmet à de + en + de monde.