Cette semaine, avec La nouvelle caissière du cinéma on découvre le premier roman porno de Julian Danbecq, qui est paru dans l’excellente collection Les Nouveaux Interdits, chez Media 1000. Le pitch est simple et s’enracine dans des fantasmes classiques mais … Mais c’est Siébert qui l’a sélectionné donc c’est pas du mièvre !
En gros au coeur d’un cinéma d’une petite ville de province, on découvre les secrets trésors d’ingéniosité faits pour satisfaire les appétits sexuels de tout un chacun. Employés lubriques, caissières délurées, directeur obsédé mais aussi clients et clientes assoiffés de sexe, tout ce petit monde se retrouve au cinéma pour s’envoyer joyeusement en l’air !
J’adresse un immense merci à Christophe Siébert, directeur de cette collection, pour dénicher des auteurs de talents et éditer des livres porno excitants à souhait, et d’une grande qualité ! Oui, ça fait une différence énorme. Oui, la littérature érotique et pornographique, c’est un art, et oui, c’est bon de lire du cul d’une aussi grande qualité ! Alors merci m’sieur Siébert, et merci à tous ces auteurs talentueux de suer sang et eau pour nous offrir d’aussi bons textes porno !
Table des matières
La nouvelle caissière du cinéma, roman porno et fantasmes au cinéma !
Le premier roman porno de Julian Danbecq se passe… dans un cinéma ! Un cinéma de province qui va devenir le théâtre de scènes de cul toutes plus débridées les unes que les autres ! Plus qu’un décor, ce cinéma est le lieu de l’assouvissement de tous les fantasmes, ceux des employés du cinéma comme ceux des spectateurs.
Avec ce roman porno, on rentre dans un monde délicieusement teinté de cul, où tout est possible et permis ! Oui, on peut aller au cinéma pour baiser avec en fond sonore un grand standard du cinéma, oui, on peut se faire sucer dans les vestiaires, et encore oui, tous les collègues baisent ensemble le plus naturellement du monde !
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Dans le monde de » La nouvelle caissière du cinéma » tout le monde assume pleinement ses envies et ses fantasmes, les femmes sont toutes d’insatiables cochonnes, les mecs, d’infatigables amants, et tout le monde baise tant et plus sans jamais se prendre la tête ni songer à la morale, au qu’en dira-t-on, etc…
Ben moi, je veux bien savoir où il est ce cinéma ! Je veux bien vivre dans un monde où y a aucun souci à baiser comme des furieux au fond d’une salle de cinéma. Cinéma qui n’est pas réservé à un type de clientèle spécial, et c’est ça qui est génial ! On y passe des films tout ce qu’il y a d’ordinaire, on y retrouve toutes les catégories de spectateurs, du cinéphile à la sortie familiale au cinoche !
Franchement un monde où le cul n’est plus un souci, où le sexe n’est pas teinté de morale, ça vous tente pas ? Perso, je prends !
La nouvelle caissière du cinéma, roman porno et empowerment sexuel !
La nouvelle caissière du cinéma, c’est aussi l’histoire de Louisa, une jeune étudiante en comptabilité qui, du jour au lendemain, quitte Paris, son crétin de mec, et vient s’installer dans une petite ville de Province pour prendre en main sa vie. Elle trouve un boulot comme caissière dans un cinéma. Mais, ce n’est pas un cinéma comme les autres, et là bas, elle va se découvrir, et assumer totalement ses envies et ses pulsions, quitte à s’y perdre un peu…
La nouvelle caissière du cinéma, roman porno et empowerment sexuel !
de Julian Danbecq, dans la collection Les Nouveaux Interdits, chez Media 1000
je vous laisse les liens vers le site de l’autrice et le tout nouveau site du prix de la A travers l’évolution de Louisa, Julian Danbecq nous raconte l’histoire d’une jeune fille qui devient femme, qui quitte le costume de gentille fillette bien sage pour devenir une femme qui assume toutes ses envies. Bon, c’est aussi le portrait d’une jeune femme qui, face à tant de possibles, gère difficilement la frustration et découvre que même si tout est permis, tout n’est pas dû, et ce n’est pas parce qu’on veut quelque chose qu’on l’obtient. C’est la phase deux du passage à l’âge adulte….
A travers l’évolution de Louisa, Julian Danbecq nous raconte l’histoire d’une jeune fille qui devient femme, qui quitte le costume de gentille fillette bien sage pour devenir une femme qui assume toutes ses envies. Bon, c’est aussi le portrait d’une jeune femme qui, face à tant de possibles, gère difficilement la frustration et découvre que même si tout est permis, tout n’est pas dû, et ce n’est pas parce qu’on veut quelque chose qu’on l’obtient. C’est la phase deux du passage à l’âge adulte….
Mais c’est bel et bien à travers la découverte de sa sexualité, en s’autorisant à désirer, à oser, que Louisa va prendre la main sur sa vie et quitter la route toute tracée et ennuyeuse qui se profilait devant elle. Car oui, la sexualité est un outil de libération très puissant, qui permet de s’affranchir de pas mal d’interdits. Et si on s’affranchit à l’horizontale, pourquoi ne pas le faire à la verticale ?
Pour changer, pour évoluer, on peut faire de la méditation transcendantale, de longues thérapies, des stages de développement personnel, mais on peut également oser explorer et découvrir sa sexualité. C’est une voie toute aussi valable que n’importe quelle autre, et toute aussi puissante, voire plus. Car à travers la sexualité, on peut déconstruire pas mal de projections et d’idées reçues, et s’affranchir de bon nombre d’injonctions ! Mais je m’éloigne, je dérive, alors revenons à notre nouvelle caissière du cinéma ….
Julian Danbecq, de la littérature jeunesse au roman porno
La nouvelle caissière du cinéma, c’est le premier roman porno de Julian Danbecq, auteur jeunesse qui a pris ce pseudo pour s’adonner à une écriture beaucoup plus… adulte ! Je ne connais pas ses oeuvres de littérature jeunesse, mais j’aime beaucoup de son premier roman porno !
Avec La nouvelle caissière du cinéma, Julian Danbecq nous offre un livre léger, où l’érotisme est torride, les scènes de cul fonctionnent à merveille je trouve. Un coup de chapeau spécial pour le trio mystique, j’ai kiffé ! Surement parce que ça m’a vraiment causé… mais il y a aussi du sens et un suspense. On tourne les pages avec plaisir, et on suit Louisa dans sa quête de l’identité du sexe parfait ! On la voit changer, oser, et on prend plaisir à découvrir les vices cachés de ce cinéma pas comme les autres. Sans compter une bonne dose d’humour et des méga clins d’oeil à des clichés du cinéma, porno comme tradi, qui moi m’ont régalée.
En bref, un premier roman porno franchement réussi, que je ne saurais trop vous recommander !
Des liens et des bisous !
Comme toujours, je vous mets ici les liens pour vous offrir cet excellent roman porno, et je vous mets également le lien vers une interview de l’auteur fort intéressante, où il raconte ce qu’il a trouvé dans l’écriture porno, par rapport à la littérature jeunesse, comment il construit ses scènes de cul, et plein d’autres choses encore ! Au passage, on y apprend qu’il a déjà prévu d’écrire au moins deux autres romans porno, il semble bien qu’il ait pris goût à l’exercice et c’est tant mieux ! Perso, j’ai hâte de lire les suivants !
Allez, bonne découverte, bonne écoute, et à la s’maine prochaine pour un nouvel extrait de La nouvelle caissière du cinéma !
- S’offrir le 1er roman porno de Julian Danbecq, en librairie ou sur le web
- L’interview de l’auteur
- l’instagram de Julian Danbecq
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