• Dernière modification de la publication :21 janvier 2019
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  • Commentaires de la publication :4 commentaires

Je n’ai jamais aimé travailler en bureau. La vie monotone m’ennuie, pourtant à une époque j’ai été l’assistante très spéciale d’un avocat. Une histoire de cul extraite de l’époque où j’étais une secrétaire très cochonne. Alors ça n’a pas duré longtemps mais pendant deux mois de ma vie, j’ai vraiment été l’exemple de la secrétaire salope des films porno ! L’assistante nympho qui allume et chauffe les clients presque autant que le patron ! C’est peut-être ça qui m’a perdue d’ailleurs !

Une secrétaire bien salope mais pas trop quand même !

C’était à l’époque où j’étais comédienne de théâtre. Comme beaucoup de mes copains et copines intermittents, il me fallait travailler à côté. J’ai eu de nombreuses fois des propositions très indécentes pour avoir des rôles ou des taf dans le milieu du cinéma mais mon snobisme m’a toujours interdit la promotion canapé.

Bon il faut dire que c’était plutôt des vieux libidineux, ce qui n’encourage pas vraiment à passer outre ses convictions !

Comme je voulais être reconnue pour mon talent de comédienne et pas pour mon cul ou la qualité de mes pipes, je me suis un jour retrouvée comme secrétaire d’un avocat un peu particulier. Il était spécialisé dans les affaires de moeurs touchant les médecins à la main baladeuse et à la bite intrusive.

Votre assistante est très consciencieuse, mon cher !

Je crois que c’est à cette époque que ma morale a commencé à diminuer et que j’ai fait mes premier pas vers le monde du livecam ! Je n’étais là que depuis quelques temps, mais j’ai très vite compris que la secrétaire que je remplaçais avait l’habitude de répondre à beaucoup de demandes très variées.

Le jeune avocat m’a tout d’abord demandé de ne plus porter de pantalon. Ses clients, des hommes d’âges murs, avaient déjà suffisamment de problème avec la justice. C’était, me disait-il, sa façon à lui de leur remonter le moral !

J’essayais de lui faire comprendre que je n’étais pas un bien à leur disposition mais il me fit remarquer mon absence de soutien-gorge et le pointage de mes tétons à travers la chemise blanche ! C’est donc, poursuivit-il, que je ne devais pas trouver choquant, voire même excitant, d’être matée …

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Alors on dit merci qui ?

Je trouvais ça excitant d’être matée

Un point pour lui ! Je n’ai pas osé lui dire sur le moment mais j’adorais les savoir en train de me reluquer. Le meilleur moment, c’était quand j’apportais les dossiers ! A peine je me baissais que je sentais les regards se glisser entre les boutons de mon chemisier.

C’est à partir de ce jour que les choses ont rapidement dégénérées ! Je prenais vraiment plaisir à allumer ces clients ! Je jouais mon rôle de secrétaire salope à la perfection !

Au bout d’une semaine, ma jupe avait déjà diminué de moitié ! Vous vous doutez bien que ce n’est plus mes petits seins que les vieux pervers mataient mais mon cul tout rebondi !

Le devoir d’une secrétaire qui aime sucer ? Bien exciter et faire bander !

J’avais trouvé un super jeu : Pendant qu’ils attendaient dans la salle d’attente, je faisais semblant de travailler en croisant mes jambes très haut sous le bureau en face d’eux ! Ils pouvaient rapidement remarquer que je ne portais pas de culotte. Par quelques mots bien placés, je leur faisais comprendre que j’adorais m’épiler.

Quand ils me demandaient comment je faisais pour être si radieuse, je leur répondais, ingénue, que c’était essentiel de prendre soin de soi, et que j’aimais particulièrement sentir ma peau toute lisse sous mes doigts…

Ca faisait déjà son petit effet, avant qu’ils pénètrent dans le bureau de mon cher avocat !

La second étape était bien pire ! Je portais uniquement des talons très hauts et des jupes très courtes ! Régulièrement, mon patron me demandait de venir chercher des dossiers et, ho quelle maladroite j’étais, je laissais toujours glisser un stylo ou une feuille de papier pour pouvoir me baisser devant leurs yeux et leur queue !

Quand la secrétaire ne veut pas se faire baiser !

Bien sûr, tout cela devait mal finir ! Nous avions bien sympathisé, mon patron et moi. Nous n’étions pas amoureux mais j’aimais bien régulièrement le sucer. Comme ça, en toute amitié.

Chaque soir en finissant le travail, je rentrais chez moi et je me masturbais en pensant à tout ces mecs que j’avais excité. J’avais encore le goût de sa queue dans ma bouche et je mouillais en imaginant ses clients se branlant pendant que je le pompais.

Tout le monde y trouvait son compte ! J’adorais me faire mater dans mon costume de secrétaire BCBG sans culotte et à la chatte épilée. J’adorais voir dans leurs yeux leur bite voulant me pénétrer sans rien pouvoir faire. « Ils avaient déjà assez de problèmes comme ça ».

Surtout, j’adorais notre complicité à tous les deux. Mon avocat savait ce que je faisais, d’ailleurs il en profitait lui aussi toute la journée. Il savait, il approuvait mais surtout il en profitait !

Petit à petit nous nous sommes rapprochés et un soir, je ne sais pas pourquoi, je suis allée un peu plus loin que simplement le sucer. D’habitude pendant sa fellation, il se contentait de me doigter mais ce soir là j’ai eu envie de plus. Alors sans hésiter je me suis empalée sur son gros gland encore tout juteux. Je l’ai mis directement dans mon cul et lui ai demandé de me baiser, là, directement sur le bureau !

On aurait dit un film de Dorcel !

La Secrétaire est une salope !

Pourquoi je n’ai pas continué dans ce métier plein d’avenir ? Parce qu’il n’a pas pensé à me demander si j’avais envie d’aller plus loin !

Monsieur l’avocat, après m’avoir baisée et bien défoncée, j’avoue que ce fut très agréable, a cru le lendemain que je lui appartenais. A la pause de midi, je le laissais avec un client et je revenais deux heures après pour reprendre mes exhibitions plus ou moins cachées.

Depuis quelques temps, l’ambiance au cabinet était vraiment très détendue, vous vous en doutez. Mais là, à peine la porte passée, je sentis que quelque chose n’allait pas. J’allais le voir dans son bureau où, apparemment, il m’attendait.

Assistante salope mais pas conne !

Après notre petit café de midi, il a commencé à me chauffer. Je n’avais rien contre et me rappelais avec plaisir sa grosse bite bien dure me pénétrant le cul la veille au soir. J’oubliais le trouble qui m’avait envahie et me laissait faire.

Après m’avoir copieusement et de fort belle manière émoustillé le sexe avec sa bouche, il guida ma tête jusqu’à son pénis déjà tout dur. Rien de bien choquant là dedans. La pratique me plaisait et j’adorais la forme de sa bite, bien large et pas trop grande. Un bonheur !

Ses deux mains me guidaient la tête dans des va et vient de plus en plus rapides quand soudain, je sentis une autre paire de main, puis une autre et enfin une troisième personne !

1 personne – 8 mains ! WTF !

L’arrêt fut brutal et immédiat ! En une seconde j’étais debout devant les 4 mecs à poils ! Leur 4 bites se dressaient devant moi comme des lances !

Je ne sais pas pourquoi, je me suis mise à hurler, à insulter mon patron ! Les trois autres hommes ne disaient rien, visiblement choqués de mon attitude.

Sans leur laisser le temps de réfléchir je les traitais de tous les noms ! Je giflais mon patron et sortais en claquant la porte derrière moi ! Dans un état à moitié second, je me retrouvais dans la rue, la jupe encore à mi taille et les fesses à l’air !

C’est en sentant le vent entre mes cuisses que j’ai commencé à réaliser ce que j’avais fait et comment, simplement parce qu’il ne m’a rien demandé, cet imbécile avait tout gâché !

S’il me l’avait demandé, peut-être que j’aurais accepté cette orgie de bites et de baise au bureau, qui sait ?

Ce qui est clair c’est qu’en rentrant chez moi je me suis énormément branlée, au point de gicler plusieurs fois d’affilée !

secretaire-salope-gicler-baiser

Cet article a 4 commentaires

  1. Yoann

    Sympathique histoire, ça donne envie de jouer, je ne savais pas que tu te mettais aux histoires érotiques 😉

  2. ykerou

    bonne histoire exitante

  3. marty

    je suis médecin
    je trouve votre travail à tous les deux « formidable » (EHH OUI j’ai 50 ans )
    un hymne à la vie qui devrait être prescrit et disponible en pharmacie
    des tutos super ..documentés …gais et sur un ton qui me rappelle l’œnologue gouttant un vin en se demandant s’il le met à sa carte
    une femme qui parle de cul en se marrant : vous êtes seule au monde à ma connaissance
    bref comment vous virer un peu d’argent sans contre partie ???????????????????????????????????????????????????????

    1. Charlie F

      Ouhaou, merci, vraiment merci, que votre commentaire fait plaisir à lire !!!
      Je n’ai d’autre mot que MERCI !!!

      Pour soutenir notre travail et le site, voici le lien de mon potcommun : https://www.lepotcommun.fr/pot/jx832kji

      Vraiment, du fond du coeur, merci ! En plus, connaissant un oenologue passionné qui m’a fait découvrir des vins de fou, des petits producteurs qui bossent dans leur garage et sortent des vins qu’on ne boira nulle part ailleurs… Ben me dire que notre taff ressemble au sien, j’adore !

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