La question « bite versus gode lequel tu préfères ? » n’était pas revenu sur mon fil depuis longtemps. D’après les archives du site, c’était en 2019 dans un article titré « faut il avoir peur des sextoys », je pensais l’affaire réglée mais, étrangement, en deux jours on vient de me la poser 5 fois, donc je prend note d’une certaine anxiété ou du moins curiosité. Donc cette semaine dans le post PORNO & PHILO un duel au sommet et une question (pas) fondamentale : BITE VERSUS GODE !
Mille pardon je voulais sortir cet article au plus vite il doit donc y avoir énormément de fautes d’orthographe. Je le corrige au plus vite. Merci par avance.
Alors qui est le meilleur baiseur ? Qui des deux va m’obliger à m’accrocher aux rideaux jusqu’à niquer une tringle ? En gros entre la verge humaine et le dildo pénétrant vers qui votre cul ou votre con1 balance ?
Bon ok comparé aux tensions géopolitique actuelle, à la crasse mentale du moment et à l’emballement des réactions extrêmes de notre planètes face aux perturbations que nous lui imposons ça semble un peu nul comme question. Donc je vais essayer de creuser un peu pour voir si y a pas quelque chose d’intéressant derrière cette interrogation récurrente. Si au passage ça peut vous donner quelques éléments pour sortir de vos doutes et devenir de meilleurs amants et amantes ça sera la foire à la saucisse de Montbéliard.
J’ai donc fait un travail d’introspection, forcément dur et intense, pour d’un coté pouvoir vous répondre de manière très explicite mais aussi de l’autre savoir ce qui se cache derrière la question : « qui je préfère du gode ou de la bite pour prendre mon pied ».
Vous allez voir que derrière cette question apparemment désinvolte, se cache une névrose qui prend de plus en plus de place dans nos sociétés moderne et normative. C’est la névrose de l’échec, la peur de l’imperfection, de ne pas être à la hauteur. En langage psy c’est l’atélophobie2.
Bite versus gode, qui est le meilleur pour la baise ?
Alors c’est quoi ma légitimité pour répondre à cette question ? Dans un cadre général, genre je te dis la vérité : strictement aucune ! Les goûts c’est comme les couleurs, ça ne se discute pas. On est tous différent heureusement et ce qui convient à l’un ne plaira pas à l’autre. Tu as le droit d’aimer le céleri branche et j’ai le droit de l’empoisonner pour pas que cette tragédie ce reproduise ! Ha non j’ai pas le droit ?! Pfff ! On peut plus rien faire, ni dire dans ce pays ! C’est une plaisanterie, je précise. En plus tout ça change en fonction de l’âge et de ce qu’on a à vivre.
Par contre au niveau personnel, mon avis à moi même donc, on va dire que j’ai un petit passif avec les godes, 10 ans à faire des tests de sextoys, douze ans à me baiser plusieurs fois par jour avec pendant les live cam XXX, ça forge une opinion. Et j’ai aussi un rien d’expérience avec la bite, je suis aussi gourmande dans ma vie intime que dans mes films de cul. Et oui je ne filme pas tout, vous ne savez pas tout, nananananère !
Enfin surtout, le plus important, la question m’est adressée parce que mon interlocuteur sait que j’aime le sexe pénétrant, j’aime même beaucoup ça, plus que le sexe oral ou le broutage de chocho comme dise les espagnols. J’aime la pénétration et surtout si elle est un peu conséquente en terme de diamètre. Poser la question bite versus gode à une personne souffrant de vaginisme ou à une lesbienne et vous risquez d’avoir une réponse en forme de pelle dans la face.
Deux soucis dans la question bite ou gode
Déjà c’est une question binaire donc réductrice. On me demande de choisir entre X ou Y. Mais pourquoi ne pas ouvrir la possibilité de X + Y, bite et sextoy ? Pourquoi faut-il les opposer forcément ? Pourquoi tout ramener à de la concurrence, de la compétition et, derrière ça, le besoin de savoir qui est le plus fort ? Mon vagin, mon plaisir ne sont pas des territoires à conquérir, je suis pas à envahir, fusse de jouissance !
Un choix binaire c’est un choix mécanique : blanc ou noir, 0 ou 1, jour ou nuit. Et les transitions dans tout ça ? L’aurore, le crépuscule, les zones de gris, les périodes de glissement, en gros tout ce qui fait le vivant, c’est passé ou ? Perso j’adore la double pénétration et je n’ai pas toujours deux mecs aimant cette pratique à porter de main, ou plutôt à porter de cul, par contre j’ai toujours au moins un gode et souvent autant de gode que je veux…
Second souci, la question bite versus gode, réduit l’humain doté d’une verge à son sexe. Même pas à ses organes génitaux, juste son sexe. De fait ça transforme la question bite versus gode à « tu préfères un truc moue, qui peut sentir fort, avec des poils et qui redevient tout moue au bout de 15 min (en moyenne) ou un truc dur mais moelleux, sans poils, qui sent le talc et le lubrifiant et qui est toujours dispo ? ».
Je crois que vous avez la réponse non ?
En gros la question pourrait être plus intéressante si elle avait été « Pour toi qui aime la sexualité pénétrante c’est mieux le gode, un humain avec une bite ou le combo des deux ? ». Ok c’est plus long à poser mais ça permet d’ouvrir sur plus de réponses. Mais c’est pas grave, on va prendre votre interrogation comme elle vous tracasse.
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bite versus gode qui je préfère pour prendre mon pied ?
Réponse simple mais pas claire : ben ça dépend car ça n’a rien à voir !
Oui c’est de la réponse foireuse mais c’est sincère. Baiser avec un gode ou baiser avec une bite ça n’a strictement rien à voir. Poser la question comme ça c’est un peu comme si vous me demandiez « tu préfères quoi entre un choux ganache gingembre noix de coco et un vol-au-vent poulet morilles ». Ca dépend des jours, des envies, de la qualité du choux ou du vol-au-vent et de la ou j’en suis de mon repas.
Pour la question bite versus gode c’est exactement pareil ! Ca dépend de la bite et du gode, ça dépend de la ou j’en suis de mon plaisir, ça dépend de l’envie du moment « bourrinage » ou « baisage » c’est pas la même chose, c’est pas le même plaisir. Bon je vais détailler un peu.
Le gode : bourrinage et plaisir égocentrique
Les gros avantages du gode c’est qu’on a un choix quasi illimité en terme de textures, de taille, de forme, de calibrage. Y en a des tout droit, des biscornus, des très dur, des très soft, des ptits kikis, des gros mandrins avec lesquels aucun mâle ne pourra jamais rivaliser. Y’en a même qui se gonfle sur commande ou qui vibre ! Perso une bite gonflable et vibrante ça me ferait super flipper. Encore plus une bite bleue ou rose fuschia.
Niveau choix la biologie humain ne pourra jamais rivaliser avec l’imaginaire humain et c’est bien ce qu’est un gode de l’imaginaire humain qui a pris forme.
Autres énormes avantages du gode : on a le rythme, la profondeur de pénétration, les variations de tempo qu’on veut et surtout la durée dont on a envie. Alors oui si je considère un partenaire humain comme un objet je peux avoir presque tout ça. Il manque un truc…. la durée ! Et oui si j’ai envie de me baiser pendant une heure non stop ben y en a aucun d’entre vous qui tiendra le coup. Mon gode il peut tenir 3 ans !
D’ailleurs même sur le rythme l’humain ne peut pas rivaliser, ou alors 1 minute pour les plus sportif. Une bonne fuck machine peut vous mettre 200 coups de piston par minutes. Je vous laisse essayer d’en mettre seulement 60 par minute et on va rire.
Au final si j’ai envie de me faire bourriner pendant une heure avec une phallus de 5cm de diamètre, bleu azur, qui me pilonne le cul à raison de 60 coups par minute ben je peux le faire et aucun être humain ne fera mieux que mon gode. Bon en vrai si je fais ce que je viens de décrire je finis explosé façon puzzle, et c’est pas la couleur bleu azur le plus problématique.
Mais le gode c’est pas que du défonçage. Si à 1h de l’aprem j’ai une bouffée d’envie avec comme fantasme de la grosse, oui j’aime quand c’est gros, donc de la grosse pénétration bien lente, bien profonde par une grosse queue, ben je n’ai qu’à prendre un gode qui correspond, fermer mes yeux et me donner du « love » comme dit une copine. Je n’ai besoin de séduire, de chasser, de demander à personne. C’est super égocentrique mais c’est tellement bon.
La bite : d’la baise qui demande une relation
Bon les copains vous avez compris que sur la fiche technique les godes ils vous défoncent grave. Pas la peine de vous comparer à ce niveau, vous serez toujours perdant. C’est d’ailleurs assez couillon de vous comparer à une machine. Vous vous comparez à une voiture sur la vitesse de déplacement ? Non ! Ben alors pourquoi vous le faite sur une baise ? Vous vous voulez du mal ? Tiens on voit ici les prémisses de l’atélophobie, la peur de pas être à la hauteur. J’y revient un peu plus bas.
Donc niveau capacité technique vous êtes à la ramasse. Mais du coup si on continue à niquer avec vous c’est qu’il doit bien y avoir autre chose non ?
Cette autre chose porte un vilain mot : LA RELATION HUMAINE ! Oui je sais c’est dégueulasse, pourtant faudra bien qu’on s’y fasse parce qu’en vrai les machines, godes ou autres, elles font quand même tout le reste mieux que nous.
Du coup c’est quoi la relation humaine dans un plan cul ?
Pour moi c’est pas du tout être en mode romantique, ultra loooove, bisous bisous et tout mielleux. Ce n’est pas à exclure totalement mais dans un plan Q, pour de la baise, perso je suis moyen fan. Du respect oui, of course, de l’écoute réciproque, évidemment, mais à un moment faut aussi du sauvage, de l’animalité, du je te prend et je te pilonne !
Donc dans une relation sexuelle type plan Q, à titre personnel, j’insiste, ce que j’attend c’est pas des bisous mais des bisouX et surtout que l’autre existe, qu’il me communique (par les mots et/ou les gestes), sans douter, sans hésiter, ses envies, ses désirs, seconde après seconde. Pour ça il faut s’impliquer, s’investir et prendre le risque que l’autre te repousse. Oui exprimer ses envies, désirs c’est pas une garantie pour être satisfait ou que ça plaise.
Sinon vous considérez l’autre comme un gode ou une vaginette et on n’est plus du tout dans le cadre d’une baise d’humain à humain mais de retour sur du humain (vous) à objet (l’autre). Je sais, c’est compliqué les relations humaines, c’est bien pour ça que des fois les godes, sa main ou les vaginettes c’est super sympa. Ca permet de pas se prendre la tête.
Au passage, comme je commence à avoir niqué avec quelques mecs, il serait bon que vous vous rappeliez de ça : votre partenaire est un être vivant. Si vous voulez un vide couille le minimum syndical c’est de lui demander « salut je peux me branler à l’intérieur de toi ? » et si l’autre n’est pas d’accord ben vous crachez dans votre main et vous fourrez un gants de nouille tiède ou un sextoy conçu à cet effet !
Pour moi sans cette relation, sans le jeu à deux, la relation humain à humain devient pire que tout.
C’est LE TRUC que je déteste, le mec qui te grimpe en étant tout seul avec lui même, son regard est fuyant, il s’agite pensant que tu aimes ça, et d’ailleurs il te l’impose avec ou sans courtoisie et mauvaise foi. Le pire c’est que ça touche tous le monde ! Les moldu du cul je comprendrai mais c’est aussi le cas chez les libertins et les pseudo acteurs porno (les mym de mec en cagoules). Le gars est tellement focus sur sa bite qu’il oublie qu’autour (de sa bite) y a un humain.
Petit conseil regardez l’autre, écoutez le, ressentez le, ou si vous doutez demandez lui. Remplacez le lamentable « t’aime ça hein ! hein ! dit que t’aime ça ! » par un « Alors t’aime ça petite pute ? Tu aimes comment je te pilonne ? ». Vous captez la différence ? Dans un cas y a des points d’exclamations ! dans l’autre des points d’interrogations ? Ca change tout.
Et sI l’autre vous dit non, ben changez, c’est pas vous le souci, c’est simplement qu’il y a inadéquation entre l’offre et la demande. Si vous allez dans une boulangerie demander des topinambours ca ne remet pas en cause le boulanger ni le client n’est ce pas ? Ben dans le cul c’est pareil. Juste changez !
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La peur de ne pas être parfait, le verrou qui fait de nous des mauvais coup
C’est la dernière partie de ce trop long article. On va aborder le fond du problème, celui qui motive vos interrogations de savoir qui est le meilleur coup entre un gode ou une bite : l’atélophobie ou, dit de manière intelligible, notre peur, à toutes et tous, de ne pas être parfait, de ne pas être « le plus grand, le plus beau, le plus fort, y a pas mieux » et au final notre peur de ne pas être l’alpha et l’oméga, le dieu du stade.
Vous voyez de suite que cette peur ne touche pas que nos performances sexuelles mais rayonne sur trop de domaines de nos vies. Comme quoi cette question un peu cocon de « bite versus gode, qui est le meilleur coup » ben elle est pas si conne que ça.
Je vais faire un peu ma prof mais pour résumer cette anxiété, consciente ou non, de ne pas être parfait, d’être faillible repose essentiellement sur nos doutes et notre peurs, voir besoin, d’être aimé. Hélas pour la grande majorité d’entre nous n’avons appris l’amour qu’à travers l’amour conditionnel3. Je t’aime parce que… Je t’aime si… L’amour inconditionnel4 est quelque chose de bien plus rare surtout en grandissant dans un monde de compétition et d’individualisme égotique.
Ce besoin d’être aimé, ou d’appartenir à un groupe, une personne, renvoi à une fonction biologique de permanence, la survie ! De manière courante on l’appelle le cerveau reptilien. C’est un ancrage très profond sur lequel énormément de nos réactions « instinctives » non conscientes viennent s’appuyer. Jusqu’à il y a très peu de temps, et même encore aujourd’hui selon ou on habite, un humain seul signifiait souvent un humain mort. Dans la nature sauvage notre gros cerveau et notre pouce préhensible ne sont que d’une aide relative par rapport à une fourrure, des cornes, une machoire puissante ou des jambes de gazelle.
Le destin d’homo sapiens (et de ces comparses homo) est marqué par sa faiblesse dans le milieu naturel depuis des millions d’années. Il n’a survécu que par sa super capacité à créer du lien social et des méga groupe d’individu. La ou un primate lambda va faire un groupe d’une dizaine d’individu, nous réussissons à créer des agglomérations de plusieurs millions de personne.
Même si depuis 100 ou 200 ans, en occident, le milieu naturel est devenu moins hostile, ce n’est pas assez long pour que nos comportements et nos mécanismes biologique de survie aient eu le temps de s’adapter. Donc pour notre corps être seul, rejeté, exclu du groupe est synonyme de danger mortel.
Être seul c’est être mort
Ce n’est qu’une supposition mais je crois vraiment que c’est de là que vient notre besoin d’être performant, en plus de cause psychologique of course. Celui qui n’est pas au top, celui qui n’est pas « le meilleur » prend le risque d’être rejeté et donc d’être en danger. On retrouve ce comportement de manière plus forte dés qu’il y a danger, que ce soit psychologique, économique ou biologique.
Bien sur il y a des exceptions dans les actes, l’humain n’est pas une fonction mathématique, mais en général, quand on creuse un peu, on trouve cette anxiété, cette peur de ne pas être « aimé » pas très loin sous le masque social.
Alors du coup, toi avec ta quiquette à la main tu as peur de ça, de pas être à la hauteur, d’être mis au ban de la société des maaaaaales, la risé des copains et surtout d’être cocufié, oui la morale en rajoute comme toujours, par un autre. Oui mais l’autre c’est un bout de silicone ! Il veut rien !
Qui plus est la meuf, ou le mec, qui utilise un gode ben il a la même peur que toi ! Il ou elle, a le même cerveau de survie que toi et, observation basique, un gode en silicone ça tient pas chaud quand « winter is coming » et ça protège pas grand monde quand un orage, un loup ou un malfaisant veut attenter à ta vie vue que ta vertu ça fait longtemps qu’elle est parti en vacance.
Alors respirons un coup, utilisons notre cortex pour rationaliser un brin et apprenons un peu l’amour inconditionnel ! Je ne vis pas avec mon Barbu depuis presque 20 ans parce qu’il a la plus grande stouquette ni parce que c’est « le plus beau le plus fort y a pas mieux » mais parce qu’il me laisse libre, m’encourage dans MA voie et parce que malgré tout ses défauts et son caractère de mer*e il est Vivant … et qu’il adore quand je prend mon pied avec un gode, sa bite, ou celle d’un autre.
Aller + loin autour de « Bite versus gode, qui est le meilleur ? »
- Le con est, en argot, un des nombreux synonymes pour parler du sexe féminin. ↩︎
- Je fais ma maline mais je ne connaissais pas l’atélophobie comme étiquette pathologique avant de faire cet article. Donc vous n’avez aucune raison de vous croire plus couillon que moi. Deuxio n’oubliez pas que je suis qu’une « pov pute virtuelle, une actrice de cul, réduite à vendre ses charmes tellement elle est un peu neuneu la meuf », fin de la citation du blaireau d’en face. ↩︎
- L’amour conditionnel : Je t’aime sous condition. Si tu as des bonnes notes, si tu es beau, si tu m’offres des cadeaux, si tu appartiens à ma « caste » ou à ma CSP. ↩︎
- L’amour inconditionnel : je t’aime quoi que tu sois, qui que tu sois. Pour vous l’expliciter, même si le « car » le déforme : Je t’aime car tu es, comme moi, un unique parmi la multitude des uniques. Je t’aime car tu es vivant, homme, femme, enfant, poisson rouge, dromadaire ou tilleul, tu es vivant, tu es la vie. ↩︎
L’Atélophobie, la névrose de l’échec c’est quoi et comment on fait pour reprendre un peu le contrôle dessus ? Trois sites que je trouve pas mal sur ce sujet. Ils proposent quelques directions pour reprendre le contrôle de nos névroses. Avis perso ils ne vont pas jusqu’au bout du problème et le traite trop comme une pathologie dont on doit guérir mais au moins vous aurez un point de départ.
- ELN VOCES avec un tableau intéressant des différentes techniques non miraculeuses pour vous aider
- PSYCHOLOGIE, un grand classique des soucis psychologique avec un tableau clinique assez intéressant de l’impact de cette névrose sur nos santés.
- LA CLINIQUE SANTE pour un article plus généraliste et plus focus sur la confiance en soi et la peur de pas être à la hauteur