• Dernière modification de la publication :8 février 2019
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Il y a très longtemps, dans une galaxie lointaine, vivait une petite Charlie… A l’époque, j’étais étudiante à la fac de Théâtre, et sans être la camgirl d’aujourd’hui, j’adorais déjà allumer les mecs en montrant mon cul . Quand j’y repense, sous mes airs de sainte nitouche je portais quand même des tenues assez provocantes. Je cachais mon besoin de plaire derrière une attitude de garçon manqué tout en montrant mon cul avec des mini kilts super sexy.

Une étudiante qui aime montrer son cul

J’avais mis en place une stratégie de séduction assez paradoxale. Comme je n’avais pas des « gros » seins comme mes copines, je m’amusais à jouer les garçons manqués et le côté femme enfant.

Ma garde robe était principalement constituée de salopettes trop grandes et de tee-shirts trop courts. Ce sont d’ailleurs ces tee-shirts trop moulants qui m’ont valu un de mes surnoms : Titi.

Et oui, un tee-shirt taille enfant sur des seins sans soutien-gorge, en plein hiver… Ca génère toutes sortes de complications !

Rassurez-vous, ce n’était pas de la naïveté ! J’ai compris très jeune qu’un téton qui pointe est souvent plus érotique qu’un sein pigeonnant.

Cette fausse innocence s’appliquait également à mes salopettes. J’adorais les porter très larges et très confortables. Comme la nature est bien faite, je n’ai jamais aimé porter de culottes.

J’étais un drame permanent pour mes copains, qui passaient leur temps à me demander de remonter mes bretelles et à ne pas me pencher !

Mais voilà, comme je savais parfaitement ce que je faisais, je poussais le rôle de l’ingénue jusqu’au bout en faisant celle qui ne comprenait pas pourquoi ils me demandaient ça.

Le trouble qui les traversait quand je les forçais à faire « la bagarre » avait le don de me surexciter et de faire encore plus pointer le bout de mes seins.

Student upskirt, j’adore!

Le seul élément vraiment féminin que j’avais dans ma garde robe était une série de 4 kilts ramenés d’Ecosse. Curieusement, je n’avais pas choisi des kilts traditionnels mais plutôt des petites jupes en tweed genre écolière anglaise.

C’est là que je me rends compte que j’aimais déjà beaucoup la provocation. Curieusement, la longueur de mes kilts allait de court à très court ! C’est quoi très court ? 32cm de longueur pour la plus petite de mes jupettes, je vous le dis, c’est très court !

Sentir le vent caresser mon pubis à la terrasse d’un café

Mon kif, c’était de porter mes micro-jupes avec une chemise blanche ou une brassière blanche. Je me faisais deux nattes bien serrées sur la tête pour renforcer le côté petite fille et j’enfilais ma paire de rangers pour renforcer le côté garçon manqué. Pour moi c’était le top, j’étais à la fois habillée, excentrique, et en même temps je me sentais libre et quasiment nue.

La sensation de marcher dans les rues d’Aix en sentant le vent caresser la pointe de mes seins ou mon pubis était un vrai délice. Rien que de m’en rappeler, j’en ai des frissons.

Un autre délice de l’époque où j’étais étudiante était de m’asseoir au bistrot avec des copains. Savoir qu’ils devaient lutter pour ne par avoir les yeux fixés sur mon string chaque fois que je croisais ou décroisais les jambes est un de mes meilleurs souvenirs Aixois.

etudiante-kilt-upskirt

Etudiante, je faisais bander mon prof

Alors d’accord, j’étais une étudiante un peu salope qui aimait allumer ses copains et ses copines.

Il y avait quelques copines, et j’adorais semer le trouble dans leur prétendue hétérosexualité. Je crois surtout qu’elles n’étaient pas plus farouches que moi et adoraient profiter de la vue. Mais ça, c’est une autre histoire.

Donc j’étais une étudiante salope, j’assume, mais j’étais aussi très studieuse, en cours, par exemple.

Etudiante, j’adorais mon prof de philo…

Pardon, mon cours de philo… Lors de ma première année à la fac, j’ai eu la chance d’avoir comme prof de philo un beau trentenaire. Il adoptait avec nous une attitude plus proche du copain que du docte enseignant. Comme j’avais un gros crunch sur lui, autant dire que j’ai profité de sa fraternité !

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Alors on dit merci qui ?

Un cours de philo à des étudiantes en théâtre d’à peine 18 ans, c’est 60% de filles qui cherchent absolument à être vues. Je vous promets que tous les moyens sont bons pour sortir du lot. J’ai donc dû tout mettre en oeuvre pour le forcer à me sauter dessus.

Ma technique était simple : J’étais une élève vraiment brillante d’un côté, et en même temps d’une fausse naïveté déconcertante. Je ne mettais jamais de mini jupe pour aller à ses cours, c’était trop évident comme branchage.

Par contre, à la fin de chaque cours, je fonçais dans les toilettes pour me changer et troquer un jean trop large ou une salopette très sage pour un petit kilt coloré et une brassière trop moulante pour être honnête.

Après je m’asseyais par terre dans le couloir à côté de son amphi. Il ne restait plus qu’à attendre qu’il sorte de sa classe. Chaque fois, je sentais son regard monter et descendre le long de mes jambes et se fixer sur mon cul à peine couvert par ma jupe vraiment trop courte. J’adorais ça !

J’aimais me branler en pensant qu’il me baisait

J’ai joué à ce petit jeu pendant tout le premier trimestre. J’avoue que jouer cette exhib pas si discrète dans les couloirs de la fac me plaisait énormément. Savoir qu’en plus de mon prof de philo, j’excitais tous les mecs qui passaient renforçait mon excitation. Je sentais monter en moi des vagues de chaleur tout au long de la journée.

Chaque soir en rentrant à ma coloc, je m’isolais dans ma chambre pendant des heures entières. J’imaginais des scénarios de pluralité. La fac de lettres se transformait en lupanar gigantesque. Je crois que c’est à cette époque que mes premiers fantasmes de gang-bang sont apparus.

Seule dans ma chambre, je me frottais au mur, je gémissais de plaisir avec des sextoys improvisés. Sous l’emprise de mes pulsions je mordais les coussins, les fringues, les draps autour de moi. Je rêvais à des mains qui me caressaient inlassablement. Des bouches qui me léchaient et des bites de toutes formes que j’aurais pu sucer.

Dans mes fantasmes, mon prof restait à distance, il laissait les autres me dénuder et abuser de mon corps. Je le regardais suppliante. Je suppliais sa queue de me prendre en dévorant des verges anonymes et des chattes inconnues.

Finalement, au moment de l’orgasme, il venait vers moi, majestueux. Les étudiants disparaissaient soudainement. D’un geste calme, il écartait un peu plus mes cuisses et me baisait sauvagement au milieu des couloirs de la fac de lettres.

C’était le moment le plus terrible pour moi. Céder aux assauts de sa bite large et ferme tout en contenant les râles de plaisirs pour ne pas affoler mes copines derrières la porte de ma chambre.

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Les fantasmes deviennent parfois réalité

Mais voilà, à la fin du premier trimestre, malgré tous mes efforts pour le faire craquer, il ne m’avait toujours pas touchée ! Il se montrait de plus en plus perturbé en cours et dans les couloirs mais il ne succombait pas.

Pour me venger je décidais de passer à la vitesse supérieure et de titiller sa jalousie.

Tous les quinze jours, je jetais mon dévolu sur un nouveau prétendant. Ce n’est pas ça qui manquait ! Inconsciemment je me retrouvais souvent à baiser dans son amphi ou sa salle de cours. Je crois que j’espérais secrètement qu’un jour il nous surprenne.

A la fin du second trimestre, le beau prof de philo n’avait toujours pas bronché. Je laissais tomber l’idée. De dépit, je rangeais mes jupes courtes et me contentais de m’amuser à émoustiller les garçons à travers mes salopettes sans culotte dans la rue.

Mais il faut attendre l’été

L’année s’est finie comme ça. L’époque des partiels est arrivée. Mon prof de philo a disparu. Je suis passé en deuxième année…

Le soir de la fête de la musique, j’ai enfin remis mon kilt trop petit. Para au pieds et tee-shirt blanc autour de mes tétés, je suis allée faire la folle et danser.

Un beau métis m’a branchée, j’avoue que je l’ai pas mal chauffé. Le zouk en string, c’est assez radical pour conclure… Mais à vrai dire, ce soir là j’étais plus d’humeur joueuse que baiseuse. Du coup nous nous sommes mis un peu à l’écart de la place des Cardeurs pour aller un peu plus loin, sans pour autant quitter la soirée.

Je descendais le long de son torse, déboutonnais son pantalon, et prenais quelques respirations en sentant le volume énorme de son sexe qui gonflait entre mes mains. Avec mes petites mains je commençais le long va-et-vient sur sa bite maintenant totalement visible.

Je me rappelle, ça le faisait beaucoup rire parce qu’il me fallait presque les deux mains pour le branler.

A genoux entre ses jambes, je commençais à le sucer. Petit à petit le monde s’est mis à tourner. Cette bite énorme à sucer, ce beau gars tout à moi, la peur d’être surprise, les verres de mojito et la musique par dessus m’emmenaient très loin.

Je me retrouvais dans le même état que quelques mois auparavant, quand j’imaginais des orgies dans ma petite chambre d’étudiante.

J’aimais cette bite, je me consacrais entièrement à elle. Je voulais la faire jouir dans ma bouche, je voulais qu’il baise ma bouche ce soir là. Tout disparaissait, il n’y avait plus que cette verge et … une langue a commencé à me lécher…

A suivre !

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Cet article a 9 commentaires

  1. Yoann

    Sympa celle-ci, d’autant plus dans un lieu que je connais bien, vivement la suite !

  2. EinsteinOnTheBeach

    <3<3<3<3<3<3<3
    T'es vraiment aussi extra que t'en as l'air.
    Peut-être même encore plus.

  3. sebastien

    J’aime bien 😉

  4. Frederic GRAND

    Salut Charlie
    Tu ses comment y prendre pour me faire bandé

  5. Jhartz33

    Tellement excitant wow..

  6. Cannibal_unicorn

    Wow, c’est wow, j’en veut encore

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